lundi 12 octobre 2009

Nez rouge

Non, je ne veux pas parler du nez de clown et de la mission poétique de Guy Laliberté (ou d'écrire une petite fable avec les personnages Goutte d'eau, Terre et Soleil). Ni, par extension, de Claude Péloquin (quoique la tentation soit grande, à l'instar du succulent blog "Ma tuque est une perruque", de revenir sur ce charmant personnage...).

Je ne veux pas non plus parler du tout aussi succulent film à succès Nez rouge (Patrick Huard, Noël, une comédie romantique, quoi de plus logique comme association ?).

Non, je veux parler, au sens le plus littéral du terme, de NEZ ROUGE.

Mon nez est rouge. Tout le temps.
L'été, à cause des coups de soleil. L'hiver, en raison du froid. Le printemps et l'automne, à cause des allergies.

Liftings, dermato, petits pots de crème, saine alimentation ou séances chez le psy n'y changeront rien (quoique Nautilus Plus, d'après ce que j'ai vu de leurs nouvelles pubs, aurait sûrement quelque chose pour moi: une équipe de deux personne -nutritionniste et entraîneur - qui changera à jamais ma vie...) Je pourrais même en faire un slam et dire que je m'aime - ça, c'est une autre histoire.

Le fait est que je dois me résigner à avoir l'air d'une semi-alcoolique (ou de Louise Marleau à la succursale SAQ de Duluth).
Et comme Tendre Époux et moi sommes si cheap que nous avons décidé de ne partir le chauffage que le 1er novembre, je me promène en cache-nez (à ne pas confondre avec cache-sexe) dans le Lôôôôôôôôôft.

La vie est dure (ou, comme dirait l'autre: pas de pitié pour les croissants).

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